Ma sale habitude de corner les pages a encore frappé avec cet ouvrage d’Attali : « Survivre auxcrises ». Je garde des sentiments mélangés à la lecture de ses conseils. Tout d’abord, la première partie ressemble tellement à une réécriture des précédents livres de l’essayiste. C’est déprimant : un pessimisme sur l’avenir et les crises qui se répèteront. Je m’attendais à plus positif puisqu’il joue avec le verbe survivre en l’écrivant parfois sur-vivre.
« Le marché n’a aucun intérêt à ce que les gens meurent trop vieux, à ce que les entreprises durent, à ce que les nations persistent. »